• Le symbole, du 13 au 14 perdu

    Un symbole, c'est ce qui assemble, du verbe synballein, syn (avec), ballein (lancer). Son opposé, le mot diabolique, c'est dia (au travers), ce qui divise. On peut aussi lancer à coté (para) avec la parabole.

    Le sumbolon grec était un tesson de poterie cassé en 2, la première monnaie, le plus ancien moyen de signer un contrat : seuls les 2 parties avaient les parties qui s'emboitaient parfaitement, la marque de leur union. Ce signe a été repris par les sociétés initiatiques comme moyen de reconnaissance.

    Une parabole christique n'est alors qu'un moyen différent de traiter de la seconde partie du tesson, de même que cette partie est la vérité ésotérique, cachée, accessible par son autre moitié, la vérité exotérique (visible), la 1ère moitié. Les monuments antiques et inspirés de l'antique ne sont que des parties du symbole permettant aux initiés d'accéder à l'autre moitié.

    Le point commun à toutes les civilisations, c'est que la seconde partie a été perdue. Le nom de "Dieu", YHVH, est imprononçable et ce sont les seules lettres connues de son nom. Pourquoi a t il été perdu ? Car avoir le nom d'une chose, c'est pour les anciens avoir un pouvoir sur lui. Adam donne les noms aux choses, grâce à "Dieu", et il acquiert du pouvoir sur eux, qu'il perd après la chute du paradis, une bonne histoire symbolique, pour le coup. En donnant le nom des planètes Uranus, Neptune et Pluton, des noms conformes à leur nature énergétique, l'élite a prouvé qu'elle pensait avoir retrouvé l'art d'Adam.

    Osiris est coupé en 14 morceaux, mais le 14ème est perdu, et pas n'importe lequel, son sexe. Nous sommes donc dans le monde "diabolique", on est obligé de passer au travers de la partie perdue, de faire sans, on ne peut plus accéder à la vérité, puisque nous avons un puzzle incomplet. Horus aussi perd 1/64ème de son œil, qu'il ne retrouvera plus. Et quand le sexe n'est pas perdu, il est caché par un voile, le fameux "calupsis" qui doit tomber à l'apo (enlever) - calypse (voile).

    Chez les mayas aussi, les dieux ont sacrifié leur sexe pour créer les humanités successives avec le sang, qui était le plus ancien des symboles. Le sang du christ est la part divine, tout comme chez les australiens, en Afrique ou dans les anciennes tribus américaines, pour qui le lieu ou tombait le sang du taureau devenait le centre du monde symbolique (axis mundi), tout comme le mont Golgotha sur lequel est tombé le sang de Jésus est le centre du monde chrétien.

    Il y a 14 constellations sur l'écliptique, malheureusement le serpent 13 n'est pas encore vaincu, car son tueur (Orion), symbole du 14, à l'opposé, s'en est pris au taureau céleste au lieu du serpent, incapable de tuer celui qui donne son caractère néfaste au scorpion, signe de ceux qui pensent accéder au bien en usant du mal (la base de l'alchimie, on enroule le mal/serpent autour d'un bâton, l'illusion de contrôle).

    Ce qui reliait les deux parties a été cassé, comme l'échelle de Jacob, qui reliait le ciel et la terre. 4 (terre) + 3 (ciel) = 7, les deux moitiés du symbole réunies. Vous vous doutez que l'astrologie est un très bon moyen de les unir, car "en bas comme en haut, en haut comme en bas", il suffit de regarder la partie céleste pour avoir un miroir d'en bas, et inversement. L'astrologie sidérale est donc une porte absolument géniale pour comprendre ce qui s'est passé, se passe et se passera. Mais pas toujours parfaite, car il y a des imprévus célestes, comme les astéroïdes et les comètes, qui perturbent parfois, selon leur constitution, la destinée humaine. Mais rien qui de fait, au vu des précédents passages, ne bouleverse la matrice sidérale.

    Les symboles sont devenus souvent diaboliques, ce qui est un non sens, car en pensant retrouver la part perdue, l'élite passe au travers et en croyant avoir un tout, elle est manipulée par des énergies qui la dépasse, et son plan pour sortir de la prison ne fonctionnera pas.

    Les upanishads, plus ancien texte philosophique, disent bien que "Dieu" est inaccessible, mais qu'on peut l'approcher (le sens du mot upanishad), et vous étonnerez vous de savoir que le symbole choisi pour "Shiva-linga-yoni", l'équivalent de ce "Dieu", c'est un sexe en érection posé sur un vagin ?

    Dan Brown a surfé sur l'idée universelle du symbole perdu pour nous faire croire qu'on pouvait le retrouver, à Washington, capitale prétendue hermétique, mais objectivement, on y voit souvent ce qu'on veut voir.

    En redécouvrant le sidéral, l'élite a retrouvé Uranus, Neptune et Pluton, et ainsi pu ouvrir la boite de Pandore, en comprenant ainsi d’où nous venons ou nous allons. 3 parties cachées importantes du puzzle, dont il ne manque plus que quelques pièces (comprendre l'influence de tous les corps astraux du système solaire, c'est en cours puisque la NASA donne continue de donner des noms aux nouveaux satellites transneptuniens découverts qui valide leur influence astrale)

    Le symbole, du 13 au 14 perdu

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