Jupiter, Vie et Mort, partie 3

On ne répétera pas les classiques vus en partie 1 et partie 2, qui nous ont exposé que la "mort" était jovienne, souvent balance, mais que Jupiter gouvernait tout autant la mort que la vie, l'immortalité, le rien et le tout.

On commence doucement avec ce film culte, jovien, la mort est bien aux trousses.

La mort jovienne, "disparaître" est aussi jovien, avec Lune en taureau, secteur ou il est tué par Orion.

Sa traduction anglaise, "vanishing", ne vaut pas mieux.

A la vie à la mort, on a 2 thèmes joviens, direct et micro, des nouvelle Lune, et le secteur balance pour le second cas.

La mort est une grosse pute, on est d'accord. En passant, la grosse pute est plutonienne, cela nous ramène aux élites, aux initiés.

Jupiter mortel provoque des larmes joviennes, cette pute.

Elle arrive après un compte à rebours final, jovien.

Elle est une "terreur finale", secteur mort.

La fatalité du bonheur jovien (l'amour) ? La mort.

L'histoire d'amour jovien finit mal, pour tous, on le sait, par la mort.

On voudrait la faire taire, mais c'est le mort qui se tait. 

On devient froid, un jour polaire, tu m'étonnes.

Le mort se sent il abandonné ? Il semble.

On est aussi abandonné "jusqu'à la mort", on a ici des logiques claires, joviennes et vénusiennes.

Car c'est la fin d'un premier voyage, jovien.

Mais le début d'un autre, car pour le ciel, la mort n'est que la "moitié de la vie".

La route mène à une autre route, dans la mort.

Route qui peut être la fameuse "rue de la paix" du Monopoly, cf la chanson de Zazie.

La mort dans cette rue de la paix semble être un "retour".

Retour, principe jovien et secteur balance mort, ici.

La mort serait alors une "réparation" ?

On peut heureusement ranimer la personne dans les premières minutes, cf ce thème, une réanimation est comme une réparation.

La blessure comme ces 2 principes peut toutefois y conduire, attention.

La guerre y conduit (sans déconner ?).

Les morts prématurées, on a un principe jovien, qui touche le foetus, ici film de 2008.

Ou cet autre exemple, film de 1994, qui suit les logiques.

C'est très injuste ce qu'on a vu plus haut, mais ça l'est encore plus ici : la mort est un "beau malheur".

C'est quand le bonheur, chantait Cali ? Visiblement tout autant ici que de l'autre coté, ce sont 2 faces d'une pièce jovienne.

La mort comme un nouveau départ ? L'amour jovien l'est aussi.

La seconde chance, OK, comme l'amour.

La seconde vie, cette mort ? Allons plus loin sur cette "autre vie", ou autre moitié.

On a ici avec une "vie après l'autre" un thème jovien, secteur mort. Tout se fait énergétiquement de manière astrale, s’enchaîne.

Le mort n'a "pas tellement changé", dans cette autre vie.

Et pourtant, il a perdu son corps.

Il garde la "flamme de son âme", ah OK.

La personne va bien visiblement.

Elle a fait une "montée en vibration", ce qu'on peut faire en étant amoureux.

Le mort a fait un "lâcher prise".

Ici, comme un reflet, il faut bien comprendre que tout ce qu'on a vu concernant la "mort" n'est que la répétition de la vie jovienne ici bas. Le vivant est jovien comme le mort.

Qu'est ce que la vie ? Un film, une pièce de théâtre, un jeu vidéo, un jeu lion tout aussi jovien.

La mort, c'est comme "chez nous", là encore pas de différence.

Elle nous montre qu'il y a d'autres vie que la notre, d'autres "chez nous", reflets.

Pour le coup, elle nous indique que mort et esprit sont indissociables, l'esprit se crée un lieu après la vie, qu'il appelle l'au delà.

Là, on voit qu'elle garde sa connotation négative, c'est le souffle du démon.

Mais elle est tout autant l'amitié avec Dieu.

Faites gaffe quand même, l'ami "Dieu" et le souffle du démon, ils condamnent à mort, une sacrée justice, joviens et exaltation Jupiter.

Par ex on a encore un thème jovien pour l’arrêt de mort.

Ils ont une main pas si invisible que cela pour agir.

La mécanique de la mort est celle de l'ombre, ils essaient d'agir cachés, mais on vous a vu.

Cachée, cachée, pas vraiment, sa face est visible, jovienne.

Pas si cachée, elle tue Superman avec un thème jovien, ça déconne pas.

La stérilité, jovienne (devenir père pour survivre à travers un enfant de l'amour, symboliquement), est équivalente de la mort, car on ne lègue pas nos gènes.

Mais alors comment sauver le monde ? Tout autant par l'amour (pour devenir père et léguer son patrimoine génétique) que par la mort, et souvent la Nature choisit l'option 2.

Après, rien n'interdit de cultiver des "protections énergétiques", mais elles ne changent pas la base du problème, on peut aimer tout autant qu'on veut, on va mourir, dit le ciel, et il/elle va mourir.

La mort a toutefois une sortie de secours, comme la vie, c'est à double sens.

Car oui, dans la mort, on peut aussi mourir, tout autant que la mort y conduit, nous dit bienvenue, les 2 thèmes sont joviens et saturniens (autre dimension, parallèle).

La mort au paradis, c'est ballot.

Après la mort ? La vie, une autre mort.

Des signes de vie sont ainsi dans la mort. Comme être un fantôme, principe jovien vu dans les précédentes parties.

La mort est elle "fausse" ? Ce qui est faux, c'est l'apparence que nous donnons à cette "autre dimension de l'esprit", nous dit le ciel. L'esprit veut un jardin, il aura un jardin. Est ce que c'est faux ? Il a modelé l'énergie selon son âme, son esprit. La source est véritable (l'amour, la vie, l'amour), jovienne, mais elle s'exprime par des illusions relatives à la personne morte ou vivante.

Post mortem, jovien direct et micro, tout autant que saturnien, on vit une vie parallèle.

On a eu depuis la partie 2 un exemple dérangeant, "et si la mort n existait pas", qui est au hasard en secteur de la mort. Si on ne veut pas qu'elle existe, dit le ciel, on peut accéder à une immortalité ou décider de ne pas créer un monde "reflet de son âme".

Elsa chantait "t'en va pas", le ciel semble dire que c'est possible, car la aussi "la mort n'existe pas", toujours jovien balance. Comment se fais ce ? On le verra dans la prochaine partie, car l'accumulation des thèmes joviens était si importante que je les ai découpé en 2 parties, pour les présenter de manière logique. A suivre, donc...